GHOUL
Une nouvelle interrogatrice militaire arrive dans un centre de détention secret et découvre que certains des terroristes qui s'y trouvent ne sont pas de ce monde.
Terminée | Indienne | 45 minutes |
Fantastique, Epouvante-Horreur, Mini-série, Drama, Fantasy, Horror, Mini-Series | Netflix | 2018 |
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1.01 - D'un feu sans fumée
Out of the Smokeless Fire
Après avoir dénoncé les activités antigouvernementales de son père, Nida Rahim est nommée interrogatrice dans un centre de détention isolé, le Meghdoot 31.
Diffusion originale : 24 août 2018
Diffusion française :
24 août 2018
Réalisat.eur.rice.s :
Patrick Graham
Scénariste.s :
Patrick Graham
Guest.s :
Ça commence assez mal avec un pré-générique où s’entremêlent réalisation stylisée, images subliminales et saut de pellicule comme sur les anciennes VHS. Bref, cela fait directement penser au générique de Seven, le film de David Fincher. Mince, Se7en date de 1995, bonjour la modernité.
Tout de suite, après, j'ai pensé à Rec. Puis il y eu un jump-scare et je déteste les jump-scare, ces procédés fainéants pour faire sursauter.
Puis, je fus étonné de voir que cette mini-série de 3 épisodes de 40 minutes en perdait une vingtaine avec l'histoire du père de Nida.
Mais une fois arrivé dans la prison, cela s'améliore nettement et un début de quelque chose commence (malgré une nouvelle fois une absence de subtilité comme le gros plan sur les mains abimés à force de frapper du tortionnaire). Puis, j'ai bien dit "semblant de quelque chose qui commence", car ce pilote est vraiment une introduction à la série. C'est vraiment étonnant pour une série si courte.
Bref, Ghoul n'est pas nulle, elle n'est juste (à part du fait que c'est une série indienne) pas du tout originale et reprend les recettes de ce qui marche au USA.
Netflix (et ce n'est pas une surprise) s'enorgueillit de proposer de plus en plus des séries du monde entier (La casa de papel), mais fait bien attention que celles-ci soient formatés et sans trop d'originalité.